Queue vive, les cons !
Ma maman, j'en suis sûr, nommée "Anne Himalié"
est surmontée d'une superbe queue de cheval.
Et mon papa, son mari honnête, s'appelle "Achille Parmentier".
Les cheveux d'Achille, ça pèle.
Avec sa pelle, il les ramassera
et les aura tôt - rie haut ! Mon thé verdit !
Le cheval d'Anne, mâle à barre
est aussi l'étalon d'Achille.
Quel talent d'Achille !
De son cul lasse
tournait ma neige
mais dans son cul, l'otage
se sent déçu dessous
quand sur le cul mains je mets
car vit une cure hâtive,
de mon culbutant cure-pipes au Q.I.
qu'eut court, bite assez tassée !
Mais où cours-je si trouille j'ai quand mon cours jette
dans ce quelconque con fondu qu'ombrelle comble
où ses potes iront potasser assez de ronds d'elle ?
Dans les chauds fourrés de son con cul pissant.
Quel comble !
Ton bijou te rie à ton habit qui nie.
Mais quels beaux d'ssous Anne a !
Son ingénieux engin à jeun bine au cul l'air
en qui l'osée bite hume bise ôtée, tôt ou tard mac à dames misées.
Mais c'est Bysance !
Personnellement Achille
est souvent fâché sur Anne
car quand mon père sonne, elle ment
mais ma maman démente y but la tasse.
En avant la musique leur dis-je et
mon père mit cro…sillon mais ma
mère se rie (des boutons, du fil, une aiguille)
car ma mère y n'ose (Est-ce pas ? Nie haut le mouton !)
pas dévoiler son amant des lyres
de son âme en délire.
Si ton amant dément sur ration de ta peau lisse
la rencontre avant sillon
ce sera un pro. "C'est verbal ce pro" dis-je.
Tes délits rient, homme très mince
qu'ont dos les anses en soir mais matin l'aisant nuit.
Elle ajouta :
"Et quoi sillon ? Si on met le chant, son que j'aime,
car dans la musique the best c'est l'air,
on en est quitte à sillons (un cheval, des sabots,
il faut les trier mais sans selle, ni poivre ajoutés)".
Et la bonne Anne y verse air de fête
du fait qu'elle est au faîte
du bonheur à la bonne heure.
Arrête de lire les délires de ces romans faux, tôt.
"Si on allait au lit, sages
de nos corps d'anges heureux,
ô ! gros ogre rosse" qu'Anne y bal…butia.
Mon père dit éperdu :
" Vous serez chou ma chère si vos habits sont chus.
Laissez choir vos fripes, lavez selles et vous serez choix si à moi, ma chatte !"
Cette mère veilleuse, hélas tique aux cahots de choux de son mari.
Elle vit au lacet enlacé de mes pensées violacées
de leurs paroles ô ! peu saines,
et s'essouffla de me souffler :
"Va gars ! Bonder dans ta chambre
si tu ne veux (ou nièce)
que ton père fouette tard
tes faits scatologiques car
tes fesses t'y valent la peine d'y
prendre garde, avoue !"
Je scandai à mon père sévère,
myope, et distrait car il perd ses verres tout le temps
(lu net et approuvé par mon o'cle Jean) :
"Fais la paix père quand tu mets mère !"
et à ma mère j'ajoutai agité :
"Fais de l'effet mère et quand le père pète, hue !"
Et leur vice versa larme à gauche et puisa droite.
Mon père rit car pour ce cas tôt logique
le "péri pape est ici haine"
car ravi au lit (n'est-ce pas ghetti ?) il pue thym.
Il mit dans son con traction et chant tonna :
"On s' perd mais t'oses aux ides … ého !
Mes p'tits pois sont rouges (à quoi rie homme !)
vers le poison rouge de ton cul rare, con fusion ou
con sommet de tomates qui vêlent où t'es
mais le roux coule, mêle
tes règles et j'y dilate
dans ce champ, pignon sur rut".
Dans ton con dix sillons je mis,
ce chat pitre de mes pans semant des confettis
qui en cette conquise tas d'or, ne ment.
Dans ton con, qu'êtes-vous ?
Mon con crée, tise à sillons vos dons, jus en …
Le plus long de mes os primait des primes à bord
de ton congé nerf, vœu de chasse tétée.
Quand t'étais à la chasse, accourra jeu félin de mon mol os
à tes chattes qui au lit ont sauts d'os semant ma paire missive.
Allez va ! J'inhale à sillons. Oui, dans ta mare j'inhale.
Ce chat, peau aux deux formes molles
ou chat, mot aux deux rôts m'adhère
est mon désir et rata en ce chat peau. Mets long et aboule !
De ton con j'ai là, sillons
mais ton con fait des rations
de ce qu'on fit dense.
J'ai trouvé dans ton con forme à l'isthme
de tes lèvres qui s'élevèrent béates
mais sévères quand tes seins serrent.
Mais ta for…me alitée mit ma transe en danse
et cette transe forma sillon.
Tu usurpas sillon mais mon petit vers t'y calmant, t'y colla sillon.
Quand mon cours rie, coule homme évité,
j'ai vu ton con courir laissant mettre
mon court sir cuité,
sir concis sans qu'elle ne puisse
en son con se voir
au travers d'un miroir concave qu'on vexe.
De ton con, science j'appris :
"Ce qu'on sent t'aimant
n'est pas ce qu'on signe à terre
mais bien ce qu'on teste à terre,
le test amant terre".
Mais ton con s' tâte à sillon
car comme dit la voyelle,
c'est là qu'on sonne
quand le con t'a miné ma minette.
Le cui-cui racé de mon cuir assez long,
et pas que beau (car à demi-râble)
et au bas te liait, fond de cuits cuissages
de tes cuisses sages à toi qui, dame, oiselle à tort mais à zèle.
Je suis un cas soûlé au cul ivre
dans ce capot d'astres éteints, scellant
mon enfant, asthme à tics pathétiques,
qui taque tôt et du tac au tac tique. Et toc !
Laisse tes tics ! Ne me mets pas tes tics !
Dans ce conservant con, servant
les cons sevrés convergeants
qu'on verse à tort et à travers les conservateurs
qu'ont versatiles versements
de vers s'aimant la panique
et inversement propos rationnels,
mon propre rat sillonne elle
où mon enfant tasse ma gorille
et en allégorie nous viennent les sexes pression
qui de près sillonnent à l'abord d'âge déprimant.
Mais ma mère cure au chrome
ses balles à fond et son cou tôt
car ma mère y tente d'avoir le coup sain
en prenant sous le pont, pied bon œil
de son sexe aphone aux écoutilles béantes.
Elle ajouta encore :
"Viens au pis homme fumant
mais dans mon con fais sillon et au dos rends …
… Dévoue qu'au glas du glissement de tes reins
jusqu'au haut de mes bas seins
qui ont un penchant pour toi,
tu masses, tu rebats sillon
de tes propres mains tenant à moi en émoi et
de mon anar buste les nids n' grattent
mais de mes seins pète air, s' bourre joie
et de ta vie d'ange j'ai lu six dés.
T'étonne pas
si mon nid bout
et que là, les tons nient rouge".
Vide un seau Viet ou
prends un bol chez Vic qui a eu l'air SS
car ça sent le roussi.
Si l'école de lutte est russe
les cons servent et Vic tue ail, car rote
les champs d'ail et l'haleine pue l'ovaire rouge
en ton pays bas où les cols causent mais l'écho case.
Mais pour qui vos tétons
aux dernières érections nazionales ?
J'abrège nef et mange ma croûte chef !
De cette première phase de ce face à face il ment facilement.
Le père dû admettre qu'à deux mètres ce serait difficile mais
à deux…mettre, rien de tel, père …
Tel fils et toi t'es l'saint esprit, ainsi zouave-t-il !
Moralité si on permet :
"Quand le père met la mère est contente
et constante si son con s'tend, t'accule
le tendon de temps en temps, donc".
Attendons d'Achille
qu'il se remette de ses mises et râbles,
et maux si on … veut !
Queue les cons vivent
et laissent les miss faire.
Quand la miss tique,
que la miss t' râle, car dans le tram monte Anne
au tentant, n'importe… levant nos membres donneurs
au clair de nos terres y fiant sensas sillons à notre match haut !
Avec toutes mes cons, grattes-tu là, sillons ?
Je persiste et saigne…
Etienne
les gratte si elle, veut car elle les a, boules dingues
quand son bas titi ment du haut de ses beaux dits buildings !
Mais tel, est faune ! Prends ce que j'ai et sème dans ton nu, mes rôts !
Et mes deux rats passent en dix ans :
"Allez père, vis et encore beau, tue les auras !
(octobre 1998)